La consternation et l'affaissement se lit sur le visage de ces hommes et femmes du droit.
" Aucune personne ne veut vivre dans une société où la règle du droit cède devant le règne de la brutalité et de la corruption "
" L’Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions "
Oui se sont des propos tenus par celui qui nous a bercé d'illusions, celui en qui l'Afrique après le discours de Ghana avait tant fait renaitre l'espoir sur notre continent, oui ce vendeur de rêves de la Maison Blanche avant qu'il nous dise, c'est pas moi c'est le système qui me force à vous sacrifiez.
Grâce à notre frère du Kenya, le Conseil Constitutionnel proclame ce jeudi 6 Mai 2011, le Drame Ouattara président, en s'appuyant non pas sur les solides institutions Ivoirienne et leur Constitution, ni sur les procès verbaux des bureaux de votes comme ils l'ont fais le 3 Décembre 2010, mais uniquement sur la décision de la communauté internationale de ne reconnaître que la mouture du FMI formée chez l'oncle Tom, le père de la privatisation, la déréglementation, la ruine des paysans et la famine en Afrique sous sans ancien chapeau du FMI, le chef de la rébellion et de l'insécurité dans ce pays depuis son coup d'État de 2002, celui qui vole en jet privé d'un vendeur d'armes de ce cercle d'amis qui en dit long sur le préfet de la France, le Putschiste parachuté pour fructifier les intérêts de son ami Sarko et ses multinationales, le bourreau de la Côte d'Ivoire.
Les arguments sur lesquels M. Paul Yao N'Dré, Président du Conseil Constitutionnel, sous la menace du fusil sur la tempe, proclamant Ouattara, président de la République de la Côte d'Ivoire, semble plutôt relevé d'un arrangement politique qu'une décision relevant d'un droit quelconque, faisant fi du respect de la souveraineté des peuples et leurs institutions
" Aucune personne ne veut vivre dans une société où la règle du droit cède devant le règne de la brutalité et de la corruption "
" L’Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions "
Oui se sont des propos tenus par celui qui nous a bercé d'illusions, celui en qui l'Afrique après le discours de Ghana avait tant fait renaitre l'espoir sur notre continent, oui ce vendeur de rêves de la Maison Blanche avant qu'il nous dise, c'est pas moi c'est le système qui me force à vous sacrifiez.
Grâce à notre frère du Kenya, le Conseil Constitutionnel proclame ce jeudi 6 Mai 2011, le Drame Ouattara président, en s'appuyant non pas sur les solides institutions Ivoirienne et leur Constitution, ni sur les procès verbaux des bureaux de votes comme ils l'ont fais le 3 Décembre 2010, mais uniquement sur la décision de la communauté internationale de ne reconnaître que la mouture du FMI formée chez l'oncle Tom, le père de la privatisation, la déréglementation, la ruine des paysans et la famine en Afrique sous sans ancien chapeau du FMI, le chef de la rébellion et de l'insécurité dans ce pays depuis son coup d'État de 2002, celui qui vole en jet privé d'un vendeur d'armes de ce cercle d'amis qui en dit long sur le préfet de la France, le Putschiste parachuté pour fructifier les intérêts de son ami Sarko et ses multinationales, le bourreau de la Côte d'Ivoire.
Les arguments sur lesquels M. Paul Yao N'Dré, Président du Conseil Constitutionnel, sous la menace du fusil sur la tempe, proclamant Ouattara, président de la République de la Côte d'Ivoire, semble plutôt relevé d'un arrangement politique qu'une décision relevant d'un droit quelconque, faisant fi du respect de la souveraineté des peuples et leurs institutions
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