L’archevêque sud-africain a affirmé qu’il sait que Laurent Gbagbo souffre de voir la Côte d’Ivoire dans cette situation. Le président ivoirien a donné son accord, mais a posé des conditions. Il a souhaité la libération de tous les prisonniers, que la chasse à l’homme cesse et que la partie civile de la crise post-électorale commence. Le candidat de La majorité présidentielle (Lmp) à la dernière présidentielle a estimé que les armes ne règlent jamais les conflits. Il a fait remarquer que malgré « les bombes françaises », les médiateurs viennent le voir pour négocier une sortie de crise pacifique.
fredag 6 maj 2011
Les conditions de Gbagbo
Relativement à la reconnaissance de la victoire de M. Ouattara, l’homme fort d’Abidjan s’est dit persuadé que sa déclaration ne changera rien. « Que je reconnaisse ou pas la victoire de quelqu`un, ce n’est pas ce qui va donner la paix à la Côte d’Ivoire. Depuis 2006, je disais que je voulais la paix. Ce qui passait forcement par le désarmement. Les autres, y compris Annan assis ici, demandaient les élections. Quand Annan disait que ce sont les élections qui allaient ramener la paix dans le pays, j’avais dit non et vous voyez maintenant pourquoi je disais cela. Mais mieux, le problème de reconnaissance ne se pose pas dans notre pays vu qu’il y a des institutions qui sont là pour ça… », a déclaré le Pr.Laurent Gbagbo, selon notre source diplomatique. Qui précise que, finalement, Desmond Tutu a pris la parole, invitant M. Gbagbo, « en tant que nationaliste et chrétien », de tout de même parler à ses partisans.
L’archevêque sud-africain a affirmé qu’il sait que Laurent Gbagbo souffre de voir la Côte d’Ivoire dans cette situation. Le président ivoirien a donné son accord, mais a posé des conditions. Il a souhaité la libération de tous les prisonniers, que la chasse à l’homme cesse et que la partie civile de la crise post-électorale commence. Le candidat de La majorité présidentielle (Lmp) à la dernière présidentielle a estimé que les armes ne règlent jamais les conflits. Il a fait remarquer que malgré « les bombes françaises », les médiateurs viennent le voir pour négocier une sortie de crise pacifique.
L’archevêque sud-africain a affirmé qu’il sait que Laurent Gbagbo souffre de voir la Côte d’Ivoire dans cette situation. Le président ivoirien a donné son accord, mais a posé des conditions. Il a souhaité la libération de tous les prisonniers, que la chasse à l’homme cesse et que la partie civile de la crise post-électorale commence. Le candidat de La majorité présidentielle (Lmp) à la dernière présidentielle a estimé que les armes ne règlent jamais les conflits. Il a fait remarquer que malgré « les bombes françaises », les médiateurs viennent le voir pour négocier une sortie de crise pacifique.
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