La liste des victimes du duo nauséabond ouattara-soro s'allonge au fil des jours en Côte d'ivoire. Hier, ils appelaient leur maître élyséen à les asseoir à la tête de l'exécutif ivoirien en massacrant toute personne capable de leur résister. Aujourd'hui, le duo macabre de tueurs en série est en train de nettoyer, au sens propre bien sûr toute opposition dans son propre camp, en oubliant pas de déporter vers des destinations inconnues, de décapiter à gauche et à droite les résistants à leur horrible prise de pouvoir. En son cheminement, l'histoire, sur tous les continents a connu des cas d'imposteurs politiques. Le creuset d'ambitieux sans étoffe est tellement important dans cette Afrique du début de ce millénaire que, n'importe quel harangueur de foule voisine se rêve en homme politique. D'autant plus qu'il n'y a pas d' imposteurs sans imposture, allons-y alors lui en confectionner une, disent en choeur les occidentaux sous le prétexte répété, salace d'exporter la démocratie. Tout au plus, les imposteurs d'où qu'ils soient, quelque soit leur protecteur ont l' intime conviction d'être des sauveurs. Le narcissisme criminel décrit par la sémiotique est là, visible depuis que la rébellion mise au point par la France (ancienne colonie allemande) a fait irruption en Côte d'ivoire. N'est-ce pas un aveu de taille que d'avoir assassiné en entrant politique? N'est-ce pas avouer être sans idées et idéologie que d'entrer en politique par effraction criminelle? Si cela ne rappelle rien à certains parmi nous, il est temps qu'ils se plongent dans les les livres ayant traité des premières semaines puis, des premiers mois de Pol Pot au pouvoir dans son Cambodge natal. Narcissique criminel qu'il était, le sieur Pol Pot s'est rêvé en redresseur de torts. Mais lesquels? Lui seul pouvait le dire. Comme seuls peuvent le dire aujourd'hui les deux membres du duo maléfique ivoirien qui égorge puis, torture à n'en point finir. L' avocat et ministre Emile Boga Doudou, le colonel Dagrou Loula, le commandant Remarck, le talentueux musicien Marcelin Yacé et des milliers d'anonymes ont été fauchés en 2002 au début de leur rébellion par le duo en question. Aujourd'hui ce sont des milliers d'anonymes, ce sont les victimes des charniers de Duekoué, ce sont des intellectuels, des journalistes et le magistrat puis ministre Désiré Tagro que la Côte d'ivoire pleure. Dans un silence atavique de l' Occident dont les habitudes ne nous échappent pas, la France tire à boulets rouges sur ceux qui lui disent non sur le sol ivoirien. Nous dénonçons et condamnons tout cela car, c'est de notre devoir.
Henry Agré.
Henry Agré.
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