Les salaires de ces fonctionnaires sont ménacés. Ouattara entend les diminuer comme dans les années 90.
Le salaire des fonctionnaires ivoiriens est menacé. En effet, Alassane Ouattara veut diminuer leur salaire pour dit-on la reconstruction du pays. Puisque ses rebelles et ses parrains de l’extérieur ont détruit complètement la Côte d’Ivoire. Il entend mettre en pratique cette décision, dans les jours à venir. La question que l’on se pose c’est pourquoi ce sont les pauvres fonctionnaires qui doivent contribuer à cette reconstruction. Puisqu’ils n’ont rien à voir avec cette situation. Il appartient au putschiste Alassane Ouattara et ses parrains de le faire. Ce sont eux les vrais responsables. Que la France, les Etats-Unis, les Nations Unies, l’Union européenne, l’Union africaine, la Cedeao mettent la main à la poche. Il faut dire que tout est devenu cher depuis sa prise du pouvoir par les armes : les denrées alimentaires, le transport, le loyer, la scolarisation des enfants. Ainsi que les soins médicaux.
Les Ivoiriens ont du mal joindre les deux bouts. Le déblocage des salaires qui devaient avoir lieu en janvier 2003, Alassane a créé une rébellion qui est venue retarder cette échéance. Les fonctionnaires attendent le déblocage de leur salaire. Et non sa diminution. Avec Ouattara, les Ivoiriens auront tout vu. En 1990, pour relancer l’économie ivoirienne, Houphouet lui fait appel. Il met en place un plan. Et dans ce plan, il a diminué le salaire des nouveaux enseignants. Dans ce secteur, il y avait un salaire à double vitesse. Il a fallu l’arrivée au pouvoir par les urnes du Président Laurent Gbagbo pour que cette injustice soit réparée.
Endettement ruineux – La Côte d’Ivoire vit sur prêt
Le putschiste Alassane Ouattara n’est pas la solution de la Côte d’Ivoire. Mais le problème. Depuis sa prise du pouvoir par les armes, l’économie ivoirienne est au ralenti. Les recettes douanières et les impôts ne vont plus dans les caisses de l’Etat. Selon des responsables des finances, le pays vit de prêt. Les salaires sont payés à partir de ces prêts. Aujourd’hui, les fonctionnaires ont un retard de salaire. Et pourtant sous le régime du Président légal et légitime, Laurent Gbagbo, tout était réglé. L’Etat n’avait pas d’appui extérieur. On a eu droit à un budget sécurisé qui a fait des émules dans certains pays africains tel que le Cameroun. Pendant dix ans, le pays était coupé en deux, les recettes des zones occupées allaient dans la poche des chefs de guerre, l’Etat honorait ses engagements vis-à-vis de ses créanciers externes comme internes.
Inga kommentarer:
Skicka en kommentar