onsdag 22 juni 2011

Alassane Ouattara l’imposture en gestion de l’économie et le bluff permanent mis à nu

 
 
 
 

Avec l’ouverture de la campagne pour l’élection Présidentielle du 31 OCTOBRE 2010, les déclarations aussi tapageuses que sans fondement et non justifiées font rage chez certains candidats. Ils pensent, grâce à une certaine imposture, s’attirer la sympathie d’électeurs mal informés. Malheureusement, Alassane Dramane OUATTARA n’échappe pas à cette pratique infamante de duplicité qui lui permet de toujours se faire passer pour ce qu’il n’est pas en réalité. Il peut se permettre de déclarer sans retenue : « GBAGBO et ses conseillers ne comprennent rien à l’économie et ils croient que les milliards que j’annonce sont des chiffres en l’air »
Rappelons nous qu’il est de notoriété publique, qu’on a fait croire à certains Ivoirien qu’en 1989, l’économie de la Côte d’Ivoire se portant, globalement mal, M Alassane Dramane OUATTARA a été appelé a son chevet pour la redresser. On a fait même croire qu’il aurait réussi « brillamment » cette mission de redressement économique de la Côte d’Ivoire avec la mise en œuvre d’un programme économique qu’il aurait « appliqué avec rigueur et compétence ». Tout cela est faux puisque la réalité nous a montré le contraire et nous allons le montrer dans la suite de cette communication.
Certes, en 1988 et 1989, le taux de croissance était positif et relativement faible (entre +1% et 2%) et l’économie Ivoirienne faisait face à une crise aigue des finances publiques. Cette dernière a conduit le ministre de l’économie (KOUMOUE COFFI) à proposer une réduction des salaires des fonctionnaires. Cette mesure que même un étudiant de première année d’économie n’aurait pas proposée (le salaire nominal n’est pas flexible à la baisse) a été rejetée logiquement par les populations. C’est cette situation qui a favorisé la nomination de OUATTARA précédé d’une réputation surfaite de « grand technocrate compétent », au poste de Premier ministre, Ministre de l’économie et des finances, du plan et du commerce (ouf !). Ainsi, avec l’appui de certains partenaires extérieurs, le Président de la République de l’époque, et le peuple de Côte d’ivoire ont été bluffés, abusés à l’occasion de cette nomination de OUATTARA.
Dramane OUATTARA n’a jamais eu de programme économique conçu, réalisé et mis en œuvre par lui entre 1990 et 1993. C’était le temps des Programmes d’Ajustements structurels (PAS) du FMI. Ce sont des programmes conçus par le FMI et mis en œuvre INVARIABLEMENT dans les « pays en difficulté ».
Ces programmes appliqués par OUATTARA ont échoués en Côte d’Ivoire. Suite à leur application par OUATTARA, les déficits et les mauvais résultats ont persistés continuellement entre 1990 et 1993. En 1993, les recettes fiscales étaient en baisse de 122,2 milliards de FCFA (573,416 milliards en 1992 et 451,216 milliards en 1993). Les dépenses de prestation sociales étaient en baisse (31,9milliards en 1993 contre 36,4 milliards). Les dépenses d’investissement étaient en baisse (73,8 milliard en 1993 contre 89,5 milliards en 1992). En ce qui concerne la balance des paiements, les paiements courants connaissaient un déficit de 345,6 milliards et le solde global était estimé à 27,5 milliards en raison d’une mobilisation exceptionnelle attendue de 373 milliards. La consommation réelle des ménages était en baisse de 0,7% liée à la baisse globale des revenus de 0,8%. Les prix à la consommation en 1993 connaissait une hausse estimée à 1,1%. La valeur ajoutée du secteur industriel était en baisse en 1993. Elle passe de 534 milliards de FCFA en 1992, à 531,5 milliards de FCFA en 1993. A la fin de la gouvernance de Monsieur Alassane Dramane OUATTARA, les produits manufacturés en Côte d’Ivoire perdaient de la valeur d’une année à l’autre.
En 1993, la contribution du secteur industriel au PIB stagne Il est de 19,8% en 1992 et 1993. Au cours de la gouvernance de Monsieur Alassane Drammane OUATTARA (1992 et 1993) les produits manufacturés en côte d’Ivoire, ne contribuaient plus de manière croissante, faute de valeur ajoutée supplémentaire, à l’ensemble de la richesse produite en Côte d’ivoire. Les industries agroalimentaires ont reculé de 0,6% en raison notamment de la baisse de l’exportation des produits industriels d’origine agricole. La valeur des exportations totales, était également en baisse de 1990 à 1993. Elle passe de 997 milliards de FCFA en 1990 à 846 milliards en 1993. La valeur des importations sur la période de 1990 à 1993 était de 904,6 milliards de FCFA en 1990 et 814 milliards de FCFA en 1993. Ainsi, le solde commercial est passé de 92,4 milliards de FCFA à seulement 32 milliards de FCFA. Par ailleurs, jusqu’en 1995, les opérations de privatisation se faisaient sans une loi d’habilitation et de gré à gré. Entre 1990 et 1993, huit (8) sociétés ont été cédées pour un montant total facturé de 3,8 milliards et 3 sociétés dont les prix de cession n’étaient pas connus. Bref. C’était le temps du pouvoir absolu, de la régression économique et de l’opacité dans la gestion des affaires de l’Etat. Globalement pendant sa gouvernance, l’économie de la Côte d’Ivoire a connu sa plus longue période de croissance économique négative ou nulle. Le taux de croissance réelle du PIB était de -1,2% en 1990 ; 0,0% en 1991 ; -0,6% en 1992 et -0,4% en 1993.
Cette régression est due à la mauvaise séquence des politiques économiques propres aux Plans d’Ajustement Structurel (PAS) qui engageaient tout azimut des mesures de stabilisation qui n’étaient pas accompagnées de reformes structurelles à même de préserver les secteurs clés de l’économie. Ainsi, OUATTARA, « l’expert des P.A.S » n’a pu faire mieux que réaliser des taux de croissance, tout au plus égaux à 0%. Le PIB nominal qui était de 3 417,6 milliards de FCFA en 1989 est passé à 3 127 milliards de FCFA en 1993. Sa politique a laissé la Côte d’Ivoire plus pauvre qu’il ne l’a reçue. Au vue de ce qui précède et compte tenu des performances économiques réalisées entre 1960 et 2009, on peut affirmer que, M. OUATTARA, ministres de l’économie et des finances de Côte d’Ivoire, a été le plus mauvais. D’ailleurs en 1993, il a annoncé qu’il ne serait plus en mesure de payer les salaires des fonctionnaires, consacrant ainsi son échec. Au vue de sa pratique professionnelle son échec ne nous étonne pas aujourd’hui. Il n’avait pas un programme spécifique et adapté à la Côte d’Ivoire. Il a pris des mesures disparates (les salaires à double vitesse chez les enseignants, l’instauration de la carte de séjour, la vente massive des véhicules administratifs, les privatisations des sociétés d’Eta, etc.) .Il a jeté son dévolu sur le recouvrement des arriérés fiscaux pour, selon lui résorber les déficits et les moins values de recettes fiscales. Faute d’une connaissance réelle de la Côte d’Ivoire et de programme économique approprié, les résultats espérés n’ont pu être réalisés. En effet les arriérés fiscaux traduisaient les difficultés des entreprises et les diverses protections dont bénéficiaient les contribuables débiteurs, la plupart liés au pouvoir PDCI de l’époque. A la différence de M Laurent GBAGBO, OUATTARA n’a jamais mis son programme à la disposition du public de sorte que les milliards qu’il annonce aujourd’hui dans ses meetings ne reposent sur aucun programme cohérent et connu. De ce fait, ces annonces de milliards à tour de meeting, prennent l’allure d’une prestidigitation aussi bien pour les économistes avisés que pour la population. De quel programme, études et analyses validées découlent ces milliards de francs CFA qu’il annonce de manière péremptoire ? Les électeurs n’auront jamais le privilège de s’approprier « son programme fantôme ». Il n’a pas osé le publier pour les élections présidentielles de 2010. Il continue sans retenu de jouer à fonds sur le bluff de sa réputation « d’économiste chevronné ». Visiblement, il aurait pu quand il était aux affaires, grâce à sa formation et son expérience supposées, prendre des mesures, procéder à des reformes adaptées, pour booster l’économie.
Pourquoi, malgré sa « grande » qualification universitaire supposée et son expérience au sein des institutions financières internationales (Directeur Afrique du FMI et gouverneur de la BCEAO) a-t-il connu cet échec patent ? Tout constat fait, il faut retenir que, ce sont ces contreperformances qui ont favorisé la dévaluation du Francs CFA dans une zone économique et monétaire où la Côte d’Ivoire représentait plus de 40% du PIB. Ce fait, cette dévaluation a consacré définitivement son échec. Ce que GBAGBO propose dans son programme qui n’a pas connu de critique sérieuse de OUATTARA et du RDR, est à la disposition de tous les Ivoiriens dans les librairies. Les performances positives découlant des mises en œuvre sont connues. A la différence de OUATTARA qui n’a pas pu proposer un programme conçu et réalisé par lui, le programme économique conçu, réalisé et mis en œuvre actuellement par les équipes de GBAGBO Laurent, connait un succès interne et externe. Il a un document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) validé par la communauté nationale et internationale. Sa bonne gestion lui a permis d’atteindre le point de décision du PPTE qui est un programme d’appui de la communauté internationale aux pays pauvres très endettés mais bien gérés. Trois revues ou évaluations de la mise en œuvre actuelle du programme économique et financier de Laurent GBAGBO ont été sanctionnées par trois satisfécits conjoints du FMI, de la Banque Mondiale et de la BAD qui sous OUATTARA (et BEDIE) s’étaient éloignés de la Côte d’Ivoire. Cela explique pourquoi ni OUATTARA ni BEDIE qui étaient abonnés à la mauvaise gestion n’ont pu bénéficier de l’appui des institutions internationales. Notons qu’elles étaient toutes en rupture de banc avec eux avant la fin de leur gouvernance respective.
Au plan de la politique macroéconomique, la Gouvernance de GBAGBO se caractérise par une vision qui conduit à l’amorce d’un nouveau modèle économique qui a pour ambition de sortir la Côte d’Ivoire de l’économie de plantation de l’ère coloniale. Cette vision dont la mise en œuvre est déjà initiée, se caractérise par : - la modernisation et la diversification de l’économie (développement de l’agriculture vivrière, valorisation et développement des richesses du sol et du sous-sol, accélération de l’industrialisation et développement des services) ; - le développement des infrastructures (reprise et accélération des grands travaux d’investissement) et promotion de l’emploi ; - l’assainissement des finances publiques / budget sécurisé (augmentation des recettes grâce à une reforme accrue des régies financières, maîtrise des dépenses, reprises des investissements et règlement du problème de la dette extérieure/PPTE) ; - la diversification des partenaires extérieurs et une forte contribution à l’intégration régionale ; - l’instauration de la bonne gouvernance et de la transparence. L’Objectif de tout ceci est de créer une économie compétitive au service du développement globale et intégré de la Côte d’Ivoire. Avec Laurent GBAGBO les finances Publiques et la bonne gouvernance, sont, respectivement, sécurisées et accrues : - Les responsables des régies financières, puis de toute l’Administration sont soumis à une obligation de résultats (les objectifs sont définis en début d’exercice) ; - Les services clés sont informatisés avec en appui, un dispositif de contrôle pour maîtriser le flux de marchandises à la douane, l’assiette fiscale aux impôts, les recettes et les dépenses publiques au trésor ; - La sécurisation et la rationalisation de la collecte des recettes fiscales ont été renforcées par la création de centres de gestion agrées pour l’encadrement des PME/PMI et l’application de la facture normalisée. Ces reformes, auxquelles OUATARRA et son équipe n’ont pas pensé, ont avec Laurent GBAGBO, favorisé la grande amélioration des recouvrements des ressources publiques notamment, les recettes fiscales qui ont progressé de 34,9% entre 2000 et 2008. Les recettes publiques qui représentaient, entre 1994 et 2000, en moyenne 84% du budget de l’Etat sont montées à 92% en 2009. L’incidence des mesures fiscales prises sous la gouvernance de Laurent GBAGBO, a été immédiate. Les recettes fiscales ont fortement progressé. Elles se situent en 2009 à plus de 850 milliards de FCFA, contre 549,6 milliards de FCFA en 2000. Soit une progression de 54, 66%. Les recettes douanières ont progressé pour atteindre 771,1 milliards de FCFA en 2009 contre 484 milliards de FCFA en 2000 Soit une progression de 59,32%. Au niveau du Trésor et de la comptabilité publique, les reformes et la bonne gouvernance exécutées ont permis de rendre effective l’unicité de caisse de l’Etat, l’informatisation complète des services, la connexion des trésoreries locales à la caisse centrale du trésor, le contrôle systématique des postes comptables, l’institution des comités de trésorerie dans les ambassades et les régions, la systématisation informatique du circuit comptable des dépenses publiques, la bonne traçabilité et la sincérité des recettes et des dépenses de l’Etat. - Au niveau du budget et des finances, la conception et l’application de la notion de budget sécurisé a permis de garantir la sincérité et l’efficacité du budget qui intègre en priorité les ressources propres de l’Etat.
La discipline budgétaire du budget sécurisé et la généralisation du Système Intégré de Gestion de Finances Publiques (SIGFIP), ont permis la bonne régulation de l’exécution du budget, la précision, la traçabilité et le niveau d’exécution en temps réel des dépenses en région et en centralisé. Le budget de l’Etat est en progression depuis 2001. De 1 289,1 milliards de FCFA en 2001, il est passé à 2 529,5 milliards de FCFA en 2009. Soit une progression de 96,22%. Les dépenses hors charge de la dette ont été assainies par le suivi strict des procédures d'exécution. À titre d'exemple, la mise en place du nouveau système de gestion de la comptabilité de l'Etat et du suivi des dépenses publiques (informatisation complète du circuit comptable des dépenses et des recettes) a permis de maîtriser la masse salariale et d’augmenter rationnellement les dépenses pro pauvres (écoles, centres de santé, pistes villageoises, cultures vivrières). La discipline budgétaire qu’impose le « Budget Sécurisé » a conduit à un résultat budgétaire excédentaire de 69,8 milliards de FCFA dès 2001. Le stock de la dette extérieure est passé de 6700 milliards de FCFA en 2000 à environ 4000 milliards de FCFA (y compris, les annulations déjà obtenues) actuellement (2010), soit une baisse de 40,2%. Le ratio de la dette extérieure par rapport au PIB est d’environ 16,6% contre 88,7% en 2000. Le stock de la dette intérieure se chiffre en capital à 987,9 milliards de FCFA, à fin septembre 2009.
L’Etat, sous la Présidence de Laurent GBAGBO, a consenti d’importants efforts de 2000 à aujourd’hui, réduisant considérablement ce montant. Les arriérés de paiement de la dette intérieure qui étaient de 431,2 milliards de FCFA en 2000 sont passés à 132,2 milliards de FCFA en 2009. Les arriérés en 1993 (Année ADO) étaient de 378,4 milliards de FCFA et de 331,2 milliard de FCFA en 1999 (année BEDIE). L’Etat, avec la présidence de Laurent GBAGBO, a payé aux créanciers intérieurs en moyenne 237,82 milliards par an de 2000 à 2009. Par contre Alassane Dramane OUATTARA et Henri Konan BEDIE, les « experts » en économie, ont payé en moyenne annuelle aux créanciers intérieurs, respectivement 59,23 milliards de FCFA (de 1990 à 1993) et 157,93 milliards de FCFA (de 1994 à 1999) la comparaison objectives de ces données devrait conduire à reconnaître, sans faux fuyant, que la gouvernance de Laurent GBAGBO en matière de gestion de la dette intérieure, est nettement plus profitable à la prospérité des entreprises et des ménages de Côte d’Ivoire. Avec la gestion de Laurent GBAGBO, la croissance économique positive est supérieure à celle chroniquement négative ou nulle réalisé par OUATTARA et « son équipe ». La mise en œuvre des mesures de stabilisation, combinée avec des reformes de plusieurs secteurs de l’économie (café cacao, énergie, et hydrocarbures, le secteur financier …) par l’équipe de Laurent GBAGBO, ont eu pour premier résultat, un taux de croissance du PIB de +0,1% dès 2001, soit un gain réel de croissance de +2,4% en comparaison de la situation de 2000. Sous la gouvernance de Laurent GBAGBO, ce taux de croissance augmente de façon continue et croissante depuis 2006 Le taux positif de la croissance réelle du PIB, a été maintenu de façon continue de 2004 à 2009 après les chutes de 2002 (-1,6%) et 2003 (-1,7%). Ainsi, chaque année le PIB s'est accru positivement (+1,6% en 2004, +1,8% en 2005, + 1,2% en 2006, +1,5% en 2007, +2,3% en 2008, +3,8% en 2009). Le PIB nominal est passé de 7 630,3 milliards de FCFA en 2000 à 10 486,5 milliards de francs CFA en 2008. Il s’est établit à 10 925 milliards de francs CFA en 2009. Il sera de plus 11 000 milliards de FCFA en 2010 ; C’est une certitude économique et financière.
Comparativement aux périodes de gouvernance de M. Alassane Dramane OUATTARA (1990 à 1993, période de croissance nulle ou négative) et Henri Konan BEDIE (de 1994 à 1999, avec une période de grande décélération économique continue entre 1995 et 1999)
Le Président Laurent GBAGBO, malgré la crise militaro politique fait connaître à la Côte d’Ivoire, depuis 2004 une période de croissance positive croissante. Globalement, la gouvernance économique et politique du Président Laurent GBAGBO a plus d’avantage pour les populations et les entreprises de Côte d’Ivoire. Il devrait être le choix rationnel des Ivoiriens. Bref ! Ces quelques exemples ci-dessus montrent que la compétence et le succès économique en matière de gouvernance économique ne sont pas du côté de Alassane Dramane OUATARRA. Visiblement, avec lui la Côte d’Ivoire n’a rien gagné. La Côte d’Ivoire gagne avec Laurent GBAGBO et son équipe que OUATTARA s’évertue, sans vergogne, à ridiculiser vainement et inutilement. Nous sommes ahuris et stupéfaits par les agissements de cet « intellectuel » qui passe son temps à vilipender des personnes qui, à tout point de vue, ont réalisé mieux que lui, ce que lui-même n’a pu concevoir et réaliser (absence de programme, absence de résultats économiques positifs, échec de sa mission). M. OAUTTARA, bénéficiaire et profiteur d’une situation de difficultés financières de la Côte d’Ivoire en 1989, fait-il exception à la l’adage qui dit que « la mauvaise foi est la chose la mieux partagée au monde » ? Ne serait il pas sage pour lui de penser à combler sa méconnaissance des réalités de notre pays en vue de proposer des politiques adaptées à la résolution des problèmes, plutôt que de lancer des incantations du genre « je suis la solution » ?

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