Il y a déjà eu en février et mars de cette année les massacres ordonnés par alassane ouattara. Ceux-ci ont eu lieu dans l'ouest montagneux de Côte d'ivoire. Ils ont occasionné des milliers de morts à Duékoué, Guitrozon, Toulepleu, Bloléquin... La semaine dernière, ce sont les villages de Domolon en pays GWA, Yakassé-mé dans la région d'Adzopé, Bécouesin au coeur du département d'Acoupé et Nakia qui ont reçu la visite inamicale des tueurs du Pol Pot ivoirien. Dans ces quatre villages qui allongent la liste sans fin des crimes du duo maléfique ouattara-Soro, leurs miliciens rebaptisés FRCI ont tué à l'arme de guerre puis, égorgé à tour de bras. A Nakia, village de l'éminent économiste Bohoun Bouabré et à Bécouesin, les deux chefs de terre ont été réduits en charpie. Comme à Oradour-sur-Glane dans la France occupée par la Gestapo, les miliciens des FRCI ont commis des barbaries sans nom. Dans cette odyssée rouge, ils n'ont pas failli à leur réputation sinistre et à celle de leurs deux leaders. alassane ouattara qui est entré dans l'oecumène politique ivoirien par effraction sanguinaire veut se faire aimer. Il aspire coûte que coûte à devenir majoritaire en "liquidant" la vraie majorité. Bien avant lui, dans le Kampuchéa démocratique, son modèle Pol Pot n'a pas fait autrement. Avec l'assentiment et la bénédiction de son maître élyséen, le criminel ouattara parade. Domolon, Bécouesin, Yakassé-mé, Nakia... souffrent en ce moment, comptent leurs morts, les enterrent. Ces villages pansent les plaies béantes de leurs blessés et estropiés. Jusqu'au fin fond de la Chine, les radios locales ont fait leur travail. Elles ont annoncé ce qu'il s'est passé en Côte d’ivoire ces derniers jours. Néanmoins, ceux qui en France ont porté le criminel ouattara au pouvoir, font la sourde oreille. Les journalistes français Vincent Hugueux et Hubert Ménard, colons dans l'âme, porte-paroles officieux de ouattara durant la campagne présidentielle ivoirienne ont disparu des écrans radar. Ils ont, semble-t-il joué le rôle qui leur était dévolu puis, ont pris la poudre d'escampette. Pendant ce temps-là, le criminel minoritaire qu'ils défendaient tant se révèle avec ses instincts les plus bas, les plus néfastes, les plus horribles. Jusqu'à quand ?
Tout le monde sait que c'est une dictature que tu as établie. Je te regarde dans les yeux, il faut arrêter les dégâts (...) Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra. En substance, c'est la déclaration faite par le président sénégalais Abdoulaye Wade le 9 juin à Benghazi. En effet, le ridicule n’a jamais tué. Sinon Abdoulaye Wade serait passé de vie à trépas depuis longtemps. Bien avant qu’il n’arrive au pouvoir, le vampire sénégalais serait décédé de sa bêtise. Un homme politique se reconnaissant à son bilan, je demande au divin chauve sénégalais de brandir le sien, vite. Très vite. En treize ans de pouvoir, qu’a-t-il apporté au Sénégal et aux Sénégalais ? Vite, qu’il me montre son bilan et je lui dirai qui il est. Démocrate se définit-il lui-même. Je lui rétorque, tu déconnes ou quoi ? Attends un peu, ton âge avancé n’est pas une excuse. N’est-ce pas toi qui as délivré un passeport sénégalais à Soro Guillaume au début de l’année 2003, alors qu’il venait de s’inscrire dans la duperie et le crime avec sa rébellion ivoirienne ? N’est-ce pas toi qui l’as adoubé alors qu’il venait de faire abattre 186 gendarmes et leurs enfants à Bouaké ? Wade, ton bilan de treize ans au pouvoir : c’est la sécheresse galopante au Sénégal, c’est le chômage qui touche 71 % des Sénégalais diplômés, c’est un enfant sur deux qui n’est pas scolarisé, c’est la jeunesse sénégalaise qui fabrique des pirogues pour fuir le pays à ses risques et périls, c’est un salaire moyen de quarante-six mille francs CFA dans ton pays. Ce qui est incompréhensible lorsqu’au Sénégal, un sac de riz, base de l’alimentation sénégalaise coûte trente-deux mille francs CFA. Ton bilan est là, Wade. En treize ans, le Sénégal a compté un million de naissances en plus, sans que tu n’inaugures un seul hôpital digne de ce nom dans un seul endroit de ton pays. Que dire, de l’espérance de vie qui atteint péniblement 38 ans pour femmes et hommes ? A noter que, si la mortalité infantile n’était pas trop élevée, on en serait à un million huit cent mille habitants en plus au Sénégal. J’attends ton bilan de démocrate d’opérette. Mon cher Wade, Kadhafi est à ton image. Ni lui ni toi n’êtes des démocrates. C’est facile de lui jeter la pierre aujourd’hui. Pas plus tard qu’hier, tu allais quémander des rallonges budgétaires chez lui en Libye, pour boucler les fins de mois difficiles dans ton pays. Fins de mois qui n’étaient un souci pour toi et ta famille. Pourquoi as-tu nommé ton fils super–ministre d’état avec trois portefeuilles ? A-t-il des compétences que les autres Sénégalais n’ont pas ? Tu accuses Kadhafi de tous les maux, j’ai le droit de t’accuser de tous les maux. En Libye, l’espérance de vie est de 76 ans pour les femmes et 74 pour les hommes. En Libye, personne n’est jamais mort de faim depuis que Kadhafi est au pouvoir, aucun enfant n’est mort de malnutrition… Tes fils spirituels que sont alassane ouattara, Ali Bongo, Faure Gnassingbé sont-ils des démocrates ?. A chacun de se faire son opinion.
Tout le monde sait que c'est une dictature que tu as établie. Je te regarde dans les yeux, il faut arrêter les dégâts (...) Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra. En substance, c'est la déclaration faite par le président sénégalais Abdoulaye Wade le 9 juin à Benghazi. En effet, le ridicule n’a jamais tué. Sinon Abdoulaye Wade serait passé de vie à trépas depuis longtemps. Bien avant qu’il n’arrive au pouvoir, le vampire sénégalais serait décédé de sa bêtise. Un homme politique se reconnaissant à son bilan, je demande au divin chauve sénégalais de brandir le sien, vite. Très vite. En treize ans de pouvoir, qu’a-t-il apporté au Sénégal et aux Sénégalais ? Vite, qu’il me montre son bilan et je lui dirai qui il est. Démocrate se définit-il lui-même. Je lui rétorque, tu déconnes ou quoi ? Attends un peu, ton âge avancé n’est pas une excuse. N’est-ce pas toi qui as délivré un passeport sénégalais à Soro Guillaume au début de l’année 2003, alors qu’il venait de s’inscrire dans la duperie et le crime avec sa rébellion ivoirienne ? N’est-ce pas toi qui l’as adoubé alors qu’il venait de faire abattre 186 gendarmes et leurs enfants à Bouaké ? Wade, ton bilan de treize ans au pouvoir : c’est la sécheresse galopante au Sénégal, c’est le chômage qui touche 71 % des Sénégalais diplômés, c’est un enfant sur deux qui n’est pas scolarisé, c’est la jeunesse sénégalaise qui fabrique des pirogues pour fuir le pays à ses risques et périls, c’est un salaire moyen de quarante-six mille francs CFA dans ton pays. Ce qui est incompréhensible lorsqu’au Sénégal, un sac de riz, base de l’alimentation sénégalaise coûte trente-deux mille francs CFA. Ton bilan est là, Wade. En treize ans, le Sénégal a compté un million de naissances en plus, sans que tu n’inaugures un seul hôpital digne de ce nom dans un seul endroit de ton pays. Que dire, de l’espérance de vie qui atteint péniblement 38 ans pour femmes et hommes ? A noter que, si la mortalité infantile n’était pas trop élevée, on en serait à un million huit cent mille habitants en plus au Sénégal. J’attends ton bilan de démocrate d’opérette. Mon cher Wade, Kadhafi est à ton image. Ni lui ni toi n’êtes des démocrates. C’est facile de lui jeter la pierre aujourd’hui. Pas plus tard qu’hier, tu allais quémander des rallonges budgétaires chez lui en Libye, pour boucler les fins de mois difficiles dans ton pays. Fins de mois qui n’étaient un souci pour toi et ta famille. Pourquoi as-tu nommé ton fils super–ministre d’état avec trois portefeuilles ? A-t-il des compétences que les autres Sénégalais n’ont pas ? Tu accuses Kadhafi de tous les maux, j’ai le droit de t’accuser de tous les maux. En Libye, l’espérance de vie est de 76 ans pour les femmes et 74 pour les hommes. En Libye, personne n’est jamais mort de faim depuis que Kadhafi est au pouvoir, aucun enfant n’est mort de malnutrition… Tes fils spirituels que sont alassane ouattara, Ali Bongo, Faure Gnassingbé sont-ils des démocrates ?. A chacun de se faire son opinion.
Henry Agré.
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